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Soupe au chou kale

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Dans le panier de la semaine dernière, du chou kale.

C’est un légume que je qualifierais volontiers de désagréable, qui ne fait rien comme tout le monde. Vous voulez une preuve ? Basique : comment prononcez-vous chou kale ? Faites-vous partie de la team [kal] ou de la team [kalé] ?

De toute façon je vais mettre tout le monde d’accord, ça se prononce [keyle] ! Et ouaip, je vous avais dit que c’était un légume désagréable qui nous fait nous sentir stupide face à lui, alors que, soyons honnêtes, ce n’est quand même qu’un chou, et que si on dit bête comme… c’est sûrement qu’il y a une raison !

J’apprends par la même occasion que kale en anglais désigne tous les choux frisés et/ou non pommés.

Deuxième raison de le trouver peu aimable : on ne sait jamais comment le préparer. Cru, cuit, vapeur, bouilli, frit ? J’ai tranché pour cette semaine, ce sera de la soupe pour nous !

Troisième raison : il a la grosse tête depuis qu’on lui a dit qu’il était une superstar du « bien manger ». Antioxydant, riche en calcium, en protéines, en vitamines et pauvre en calories, le kale est le parfait allié des personnes à la recherche d’aliments sains, nourrissants et appétissants. Ce chou est l’un des légumes les plus sains que l’on puisse trouver sur le marché. Dommage que ce soit le chou kale et pas les frites, mais c’est comme ça.

Bref alors qu’il me narguait que je ne savais ni le prononcer ni le préparer, j’ai décidé que je ne serais pas ridiculisée par un chou et j’ai cherché une recette. Je suis tombée sur une soupe palestinienne. Ça sentait déjà bon rien qu’à lire le titre.

Voici donc de quoi il retourne :

Mettre l’oignon à revenir dans 3 cuillères à soupe l’huile d’olive. J’ai trouvé que ce serait joli de mettre aussi de l’oignon rouge, même si c’était pas dans la recette. Monsieur dirait que de toute façon je ne suis pas fichue de suivre une recette, et force est de constater que depuis qu’il me le dit, j’ai remarqué qu’il n’avait pas fondamentalement tort – même si ça me contrarie de le reconnaître.

Une fois les oignons translucides, on ajoute le chou coupé en morceaux.

Et là, il faut ajouter du 9 épices. NEUF épices ! Non, mais 9 !!! Alors bien sûr, je n’ai pas de mélange de 9 épices tout prêt à la maison. Mais comme on a quand même beaucoup d’épices différentes, j’ai pu faire mon 9 épices maison. Prenez de quoi noter, voici la liste :

2 cuil. à café de curcuma
1 cuil. à café de poivre noir
1 cuil. à café de coriandre en poudre
0,5 cuil. à café de gingembre en poudre
0,5 cuil. à café de cumin
0,5 cuil. à café de paprika
1 pincée de cannelle
1 cuil. à café de piment doux
1 pincée de curry

Visuellement, c’est éclatant, c’est même dommage de touiller !

On ajoute ensuite du bouillon de légumes, théoriquement 900mL, mais j’ai dû mettre pas loin de 2L d’eau avec un bouillon cube pour que les « beignets » puissent nager un peu quand même.

Les beignets justement, on y vient. Il faut mélanger

2 oeufs battus
5 cuillères à soupe de farine T 45
5 cuillères à soupe de farine T110
1/2 cuillère à café de piment d’espelette
1/2 cuillère à café de cumin
1/2 cuillère à café de 9 épices
1/2 cuillère à soupe de crème fraiche épaisse
2 cuillères à soupe de coriandre ciselée
Sel & poivre

J’ai refait mon 9 épices maison, mais dans des proportions délirantes puisque déjà il y a l’équivalent de 2 cuillères à café de curcuma qui ont coulé alors qu’il ne fallait qu’½ cuillère du mélange…

Là aussi, c’est chatoyant ! Et là, la recette précise que la pâte obtenue est collante, je confirme !

Pendant ce temps, sur le feu, ça bloblope tranquillement.

On fait des boulettes avec 2 cuillères à café et notre pâte et on la met à cuire « jusqu’à ce qu’elle remonte à la surface ». Voilà, c’est pour cette précision que j’ai mis 2 fois plus d’eau que prévu, parce que sinon les boulettes avaient leurs fesses posées sur le chou et n’avaient aucunement besoin de remonter à la surface puisqu’elles ne s’enfonçaient pas.

Et voilà le résultat, chaud et coloré.

À la maison, on a l’habitude de manger la soupe sans sel, mais là avec la débauche d’épices (enfin je suppose que c’est à cause de ça), on a tous les deux ressenti le manque et on en a rajouté un peu. Avec le sel, c’est super bon, épicé mais pas (très peu, parce qu’on n’est pas orientés qui-arrache) pimenté, le chou est fondant, c’est très agréable !

Mademoiselle I, après avoir trouvé que ça sentait très bon dans la cuisine, n’a pas du tout aimé tomber sur une bouchée de chou et n’a plus voulu de soupe.

Mademoiselle II avait dit d’emblée qu’elle préférait prendre de la soupe à l’oseille faite pour Mademoiselle III donc n’a pas goûté.

La recette que j’ai plus ou moins suivie : https://dlicedorient.blogspot.com/2017/12/soupe-palestinienne-au-kale.html?m=1

Bon appétit !

Velouté de basilic

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Puisque j’ai déjà proposé une recette de pesto ici et que j’ai de toute façon déjà du pesto plein le congel, j’ai cherché une recette pour préparer le magnifique bouquet de basilic qu’on a eu dans notre dernier panier. Je vous présente donc le velouté de basilic !

Il vous faut :
– 1 oignon (mais on aime beaucoup ça alors j’en ai mis 2)
– 3 cuillères à soupe de crème (mais j’ai voulu faire une version allégée alors j’ai mis 1 de crème et 2 de fromage blanc)
– 1/2 L de bouillon de volaille (là je n’ai pas mieux qu’un bouillon cube, mais faites-le avec votre reste de poulet, ce sera encore meilleur !)
– un beau bouquet de basilic (présent !)
– un peu de beurre pour faire revenir les oignons

1ère étape : couper les oignons en morceaux et les faire revenir dans une casserole avec le beurre.

Pendant que le bouillon est en cours de préparation, ça revient tranquillement dans la casserole. Mademoiselle passe « hmmm ça sent trop bon ! – Oui ma chérie c’est normal, ce sont des oignons dans du beurre ». Monsieur passe « hmm ça sent bon ! – Oui mon chéri c’est normal ce sont des oignons dans du beurre ». Mademoiselle II n’a pas fait de commentaire, trop occupée qu’elle était à colorier le canapé au feutre. J’aurais préféré qu’elle trouve que ça sentait bon.

Une fois les oignons quasi-translucides et le bouillon prêt, on mélange les 2. En attendant que ça frémisse, on peut commencer à effeuiller le basilic et à laver les feuilles.

Et hop, les feuilles de basilic, dans la casserole, et on laisse cuire 2-3 minutes (pas plus sinon le basilic va perdre de sa splendeur).

Ensuite, on mixe une première fois :

On ajoute la crème et/ou le fromage blanc, on mixe une deuxième fois :

Et il est temps de servir. Alors vous savez que je ne suis pas très forte sur les présentations, mais vous pouvez imaginer le bol ci-après avec une feuille de basilic frais que vous aurez pensé à mettre de côté avant de tout jeter dans la casserole, voire une petite virgule de crème pour faire joli !

Bilan : on l’a bue tiède, et c’était parfait pour la saison. Le velouté a un bon goût de basilic sans que ce soit trop fort, juste le bon équilibre. Mademoiselle I en a redemandé (mais avec 1/2 L de bouillon pour 4, il n’y avait pas de rab), Mademoiselle II a tout bu sans négociation, et les grands se sont dit que la recette était absolument à garder !

Bon appétit !

Tomates farcies

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Les tomates farcies font partie de ces plats pour lesquels je me damnerais, ou presque. Mais je n’en mange que trop rarement à mon goût.

En effet : c’est un plat plutôt d’hiver, quand il n’y a plus de tomates ; et quand la saison des tomates bat son plein, on a généralement plus envie d’une salade fraîche que d’un plat fumant sortant du four.

Nous sommes donc pile poil à la bonne période, quand ça se rafraîchit mais que de beaux points rouges sont encore visibles sur les plants de tomates.

Ce soir à la maison, c’était donc soirée tomates farcies, avec un jeu de couleurs tomates rouges/tomates vertes.

J’ai fait une farce de compèt : chair à saucisse, la chair des tomates mise de côté à l’évidage, 2 oignons de l’AMAP, une grosse cuillère à soupe de moutarde parce que Monsieur aime ça, un peu d’herbes de Provence parce que Monsieur adore ça ; je touille, je touille, je reremplis les tomates avec la mixture. Fatalement, il y en a trop puisque je remets ce que j’ai enlevé ET un tas d’autres trucs trop bons. Donc j’en mets un peu entre les tomates.

Au four une vingtaine de minutes, je sers ça avec du riz, et on n’entend plus ni Monsieur, ni les demoiselles, pendant quelques minutes, le temps qu’ils dégustent !

Bon appétit !

Taboulé, tout simplement

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Regardez dans votre bac à légumes : en ce moment, il y a forcément des tomates et des concombres. Pour peu que vous ayez un pot de menthe sur le bord d’une fenêtre, un oignon nouveau et un citron qui traînent, cette recette est faite pour vous.

En plus de ce que j’ai déjà cité, il faut la semoule et de l’huile d’olive mais ça normalement tout le monde en a dans son fond de roulement.

Au Moyen-Orient, il y a beaucoup de persil dans le taboulé, mais il paraît que ça coupe le lait, et avec l’arrivée de Mademoiselle III, je m’auto-censure à nouveau le persil. En revanche on a eu du basilic, donc j’en ai mis, mais ça ne fait pas partie de la recette de base. On peut mettre des raisins secs aussi si on aime le sucré-salé.

Il n’y a pas beaucoup de recettes plus faciles que celle du taboulé : on met la semoule dans un saladier (jusqu’à mi-hauteur), on mouille avec un grand verre d’eau, on coupe tous les ingrédients en petits cubes et on les ajoute, de façon qu’il y ait à peu près moitié semoule moitié légumes.

On ajoute le jus de citron, le sel, le poivre et 2 cuillères d’huile à la fin, juste avant de touiller et de stocker au frigo.

Idéalement il faut préparer le taboulé la veille et le laisser infuser au frigo. Mais il est mangeable après 2-3h de repos.

C’est bon, c’est frais, c’est léger, qu’est-ce que vous attendez pour en préparer ???

Tarte aillet oignons nouveaux

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« Tiens je vais faire une tarte avec l’aillet et les oignons nouveaux, tu peux marquer pâte feuilletée sur la liste ? ». Un air outré et quelques heures plus tard, j’avais 1 kg de pâte feuilletée maison réalisée avec amour. Je n’avais plus qu’à tenir parole et à préparer la tarte.

Il vous faut donc, en plus de la pâte feuilletée, de l’aillet, des oignons nouveaux, de la crème, de la moutarde, du fromage râpé. Et il y a un peu d’œuf et de lait aussi, mais pas assez pour faire un appareil significatif. Enfin ça c’est à vous de voir aussi hein !

L’unique partie de bravoure est au début, quand on réduit aillet et oignons nouveaux en petits tronçons. Ils se chargent de nous rappeler qu’ils sont nouveaux mais costauds.

Vraie larme, et je ne suis pas un crocodile. On ne pourra pas dire que je ne paye pas de ma personne pour ce blog !

Une fois le plus dur fait, on peut continuer gaiement. En étalant la pâte.

J’avoue une petite fainéantise passagère (si si, passagère…), je n’ai pas coupé la pâte bien ajustée au moule. La flemme. Je la rabattrai par-dessus la garniture. Au fond, c’est le moment de sortir la crème et la moutarde. Faites-vous plaisir sur les quantités selon ce que vous aimez.

Étalez les tronçons d’aillet et d’oignons dessus. Versez le mélange œuf-lait dessus si vous avez opté pour.

Souvenez-vous qu’il vous reste 3 tranches de tomates séchées au frigo et dites-vous que ça irait super bien dans votre tarte. On a fait une version avec des morceaux de jambon aussi, c’est top. Bref, customisez.

Finissez par le fromage râpé. Comme vous n’êtes pas une grosse feignasse de mon acabit, vous n’avez pas à replier les bords.

Une 20aine de minutes de cuisson plus tard, c’est prêt.

Bilan : Mademoiselle, pas très orientée tartes, s’est fait prier pour manger une petite part. Mademoiselle II a apprécié pour deux. Monsieur et moi avons trouvé ça excellent.

Le régal de Mademoiselle II

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Mademoiselle II aime manger, c’est un fait avéré depuis… qu’elle mange. Mais la soupe, ce n’est pas ce qu’elle préfère. Elle en mange bien sûr, puisque ça se mange, mais si elle a le choix, elle choisira toujours autre chose. Ça doit être le côté frustrant de la soupe qui est avalée avant d’avoir eu le temps d’en profiter. Et un jour, j’ai eu une idée.

Voici donc : le régal de Mademoiselle II.

Il faut : une bonne sousoupe des familles (ici, courge, panais, patate douce, oignon, une valeur sûre) ; du bon pain de Stan notre boulanger ; une assiette licorne (si, c’est mieux, c’est Mademoiselle qui le dit, elle a étudié la question en détail).

Coupez une tranche épaisse de pain. Mettez-la dans l’assiette licorne.

Versez la sousoupe dessus. Attendez 5 minutes.

Et voilà une délicieuse soupe qui reste en bouche et dont on profite pleinement !

Depuis, elle finit ses assiettes de soupe. 😁

La potée ose

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Non, je n’ai honte de rien, ce n’est pas la peine de regarder le titre avec cet air dubitatif. Aujourd’hui, c’est donc potée, façon stop motion sans budget.

Il vous faut : une cocotte, du chou (panier de mardi), des carottes (panier de mardi d’avant), des oignons (panier d’encore avant, faudrait peut-être voir à en faire quelque chose !), de l’ail, de la moutarde, de la viande de porc.

Après avoir bien lavé le chou, j’ai gardé les parties les plus blanches pour de la salade et j’ai mis le reste au fond de la cocotte. Un blog de recettes un minimum sérieux aurait sans doute conseillé de le faire blanchir avant, mais que voulez-vous, ici c’est pas un blog étoilé !

Ensuite les carottes. Pas épluchées mais bien brossées, et coupées dans le sens de la longueur, sans autre raison que parce que ça change des rondelles.

Là dans ma recette théorique, j’ajoutais du charnu que je pensais avoir. Comme théorie et pratique ne sont que de lointaines parentes, je n’avais plus de charnu, j’ai donc mis du talon de jambon coupé en dés.

Les oignons pour faire du volume (et parce que c’est bon. Ça fait d’ailleurs bien longtemps que ceux de l’AMAP sont préparés mangés digérés : avec la consommation qu’on a ils ont dû tenir 3 jours).

Au jeu des 7 erreurs entre en haut et en bas, il y a quelques gousses d’ail.

Et là j’avais envie d’ajouter une épice mais pas moyen de trouver laquelle. Aucune ne m’inspirait. Jusqu’à ce que je voie le pot de moutarde. Une moutarde à la noix (c’est son goût, pas son évaluation hein !), d’où sa couleur un peu brune.

Un bon verre d’eau dans tout ça (je suis gentille parce que je vous le dis dès le début : moi c’est la cocotte qui m’a olfactivement suggéré d’en mettre après quelques minutes de cuisson), et on laisse mijoter jusquà la cuisson des carottes. J’ai remué de temps en temps.

Alors franchement ça paye pas de mine, mais qu’est ce que c’est bon !!!

Bon appétit !!!

Fan de soupe aux fanes

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Mardi, Émeline a dit qu’on pouvait faire de la soupe avec les fanes de navets. Je n’avais jamais essayé, mais l’idée étant tentante, je me suis lancée.

Les ingrédients sont vite énumérés : pommes de terre, fanes de radis et oignons.

Et un peu de beurre pour faire revenir les oignons, puis les fanes. C’est une étape que je saute fréquemment quand je fais de la soupe, au grand dam de ma grand-mère qui pense qu’une soupe ne peut pas être bonne si les légumes ne sont pas revenus dans le beurre avant, mais là j’aurais eu un sérieux problème logistique si j’avais dû faire rentrer les fanes telles quelles dans la casserole.

La preuve, c’est que quand j’ai mis le paquet sur la planche à découper, je me suis demandé si j’avais bien mis la planche à découper dessous… tout en me réjouissant que Monsieur ne soit pas dans les parages, sinon j’aurais entendu parler de dimensionnement de mes ustensiles de cuisine pendant des heures.

Si si elle y est, cherchez bien !

Sur la planche à découper, ça fait les malins. Mais 2 minutes dans le beurre et pouf, y’a plus personne ! Nan mais on les connaît les trucs verts, tous les mêmes, pas un pour avoir plus de dignité que les autres !

Une fois mon problème de place résolu, j’ai pu rajouter les pommes de terre, et l’eau, et laisser cuire à couvert tranquillement.

Une demi-heure plus tard la soupe était cuite, mixée, le mixsoupe débarrassé des filaments importuns, et j’avais une aura d’artiste internationale auprès de Mademoiselle pour avoir réussi ma déco de soupe :

Elle m’a réclamé un cœur pour son assiette à elle. J’ai eu du bol, j’avais plus de chance de le réussir que si elle m’avait demandé une licorne !

Et sinon la soupe : une odeur de navet mais un goût un peu différent, difficile à classer. Entre fumé et fromageux à certains moments (le mieux ce serait que vous goûtiez pour vous faire votre propre idée hein !). Gros succès chez Mademoiselle II, nous on a beaucoup aimé aussi, mais Mademoiselle était plus mitigée et a préféré les carottes râpées.

Couscous improvisé au panais [par Élise]

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Je ne sais pas chez vous, mais chez nous le panais n’a pas trop de succès. Cela faisait une semaine que le gros panais trônait et nous regardait l’âme en peine (notez la belle allitération… j’ai l’humeur poète…).Bref il fallait lui faire un sort. J’avais de bonnes merguez de bœuf de la ferme de Bérénice (achetées au marché fermier de l’association le Goût de notre ferme à Beaugé à Villenave d’Ornon https://www.legoutdenotreferme.fr/les-producteurs/

Petite page de pub : marché fermier de Noël le 11.12 !)

Il était donc temps de faire un coucous !

 
J’ai fait revenir 2 gros oignons. J’ai ajouté 2 poivrons et une vieille aubergine un peu sèche. J’ai ajouté le gros panais débité en grosses tranches, 4 ou 5 carottes. J’ai mouillé pour que les légumes soient à demi dans l’eau. J’ai saupoudré généreusement de raz el hanout. Salé. 2 gousses d’ail.

10 minutes plus tard j’ai ajouté 2 patates douces et un demi potimarron débité en grosses tranches. Ça a cuit assez vite (20 minutes ?). Les panais étaient très fondants et avaient bien pris les épices.

Les enfants ont aimé et ont même redemandé du panais donc j’appelle ça… une victoire ! 

Céleri à la provençale

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La semaine dernière, j’ai tardé à préparé le céleri, et au bout de quelques jours le céleri sentait fort et c’était un cauchemar pour moi le matin d’avoir cette odeur que je n’aime pas en sortant les affaires du petit dèj. Cette semaine, Monsieur a eu pitié de moi, il a préparé la partie rave rapidement en purée, et il s’est occupé du reste ce week-end. Par pure compassion.

Il a commencé par me taxer des lardons et des oignons que j’étais en train de couper pour la courgiflette et les a mis à revenir ensemble. Jusque là, ça restait comestible et même plutôt appétissant pour moi.

Pendant que ça revient tranquillement, il sépare les côtes des feuilles, et les ajoute aux oignons dans la poêle. 🤢

Il finit en ajoutant un peu de concentré de tomate avec un petit fond d’eau. Ça a mijoté tranquillement et je l’ai coupé quand il n’y avait plus d’eau.

Il paraît que c’était bon. Je le crois sur parole.