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Cake zéro gachis aux épluchures de carottes

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C’est l’histoire d’une botte de carottes 🥕 qui allait être mangée. À la maison, on aime les carottes, sous toutes leurs formes. Quand on voit la 2e en partant de la droite avec son pantalon bouffant, on se dit que c’est heureux.

Ma forme préférée, c’est les carottes râpées. Et en ce moment c’est plutôt moi qui cuisine, autant dire qu’on en mange souvent. Et il n’y a pas longtemps, j’ai acheté un livre de recettes. Pas qu’on en manque hein, mais j’ai entendu une émission sur Inter où Jean-François Piège parlait de son nouveau livre et ça m’a donné envie. Zéro Gaspi, qu’il s’appelle, le livre.

Ce sont des recettes avec des restes. Par exemple des épluchures. Par exemple, des épluchures de carottes. Donc, mes carottes à râper, avant de les éplucher, je les brosse (le truc en bas de la photo, c’est une brosse à légumes. Depuis que je l’ai elle sert tout le temps). Et j’ai dû séparer les deux carottes siamoises. Ça a été un déchirement mais je n’arrivais ni à brosser ni à éplucher entre les 2 papattes, et vu ce que l’avenir proche leur réservait, je me suis dit qu’elles ne m’en voudraient pas longtemps.

Quelques minutes plus tard, on a un saladier d’épluchures propres et des carottes râpées tout ce qu’il y a de plus standard, avec la petite vinaigrette faite par Monsieur pendant ce temps-là pour justifier sa présence dans la cuisine, présence qui lui accorde le droit, pense-t-il, de me chiper les carottes épluchées pour les croquer en lousdé. Il y a donc une carotte de moins ci-dessous que ci-dessus, Monsieur s’est pris pour un cheval…

Voici donc la recette dont je vais vous parler aujourd’hui : un cake aux épluchures de carottes.

Il faut :
– 150g d’épluchures de carottes (j’ai pile poil ce qu’il faut avec mes 7,5 carottes ci-dessus)
– 250 g de farine
– 17,5 g de levure chimique (ça fait 1 sachet et demi)
– 150 g d’emmental râpé
– 270 g d’œufs (ça fait 5 gros œufs. Moi j’avais des petits j’en ai mis 6)
– 185 g de lait
– 150 g d’huile d’olive
– 7,5 g de sel

La recette peut difficilement être plus simple : on met tous les ingrédients secs dans un saladier, puis tous les ingrédients moins secs sauf les épluchures et on mélange.

À la fin on ajoute les épluchures de carottes et on remélange.

Hop, dans un moule à cake (oui, c’est un cake quand même, c’est dans le titre, essayez de suivre !) beurréfariné et au four au doux thermostat 5-6 (170°C) pendant 40 min. La recette dit 30-40, et moi j’ai dû le laisser 45 min, mais c’est vous qui connaissez votre four.

Le résultat est parfait, à la hauteur des attentes.

On a mangé ça avec une petite salade verte. Les demoiselles ont adoré, Mademoiselle I en a même repris. L’emmental a complètement fondu dans la pâte, les épluchures ont cuit et sont devenues tendres avec le cake ; et on a goûté chaud et froid, et les deux sont moelleux.

Je me suis auto-condamnée à systématiquement récupérer les épluchures de carottes maintenant !

Bon appétit !

Tomates farcies

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Les tomates farcies font partie de ces plats pour lesquels je me damnerais, ou presque. Mais je n’en mange que trop rarement à mon goût.

En effet : c’est un plat plutôt d’hiver, quand il n’y a plus de tomates ; et quand la saison des tomates bat son plein, on a généralement plus envie d’une salade fraîche que d’un plat fumant sortant du four.

Nous sommes donc pile poil à la bonne période, quand ça se rafraîchit mais que de beaux points rouges sont encore visibles sur les plants de tomates.

Ce soir à la maison, c’était donc soirée tomates farcies, avec un jeu de couleurs tomates rouges/tomates vertes.

J’ai fait une farce de compèt : chair à saucisse, la chair des tomates mise de côté à l’évidage, 2 oignons de l’AMAP, une grosse cuillère à soupe de moutarde parce que Monsieur aime ça, un peu d’herbes de Provence parce que Monsieur adore ça ; je touille, je touille, je reremplis les tomates avec la mixture. Fatalement, il y en a trop puisque je remets ce que j’ai enlevé ET un tas d’autres trucs trop bons. Donc j’en mets un peu entre les tomates.

Au four une vingtaine de minutes, je sers ça avec du riz, et on n’entend plus ni Monsieur, ni les demoiselles, pendant quelques minutes, le temps qu’ils dégustent !

Bon appétit !

Ces légumes aussi bien d’hiver que d’été

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Dans les 2 derniers paniers, nous avons eu les premiers poireaux et les premières carottes de la saison. Des pommes de terre aussi.

Moi, quand je vois côte à côte poireaux, carottes et pommes de terre, je pense soupe. Il y a 10 jours, la température extérieure ressentie avoisinait les 75°C pour certains, et j’ai bien remarqué les airs au mieux pas emballés ou dubitatifs, voire pleins de compassion pour ma santé mentale quand j’ai fait part de ma grande inspiration à la distribution.

À la maison, l’accueil de mon idée par Monsieur a été franchement hostile. J’ai compris qu’il fallait que j’attende encore un peu pour les soupes, j’étais trop avant-gardiste.

J’ai donc fait des salades :

1) poireaux cuits à la vapeur avec une vinaigrette vinaigre de cidre, huile de pépins de raisin, moutarde, échalote, et des petits cubes d’un fromage de chèvre retrouvé au fond du frigo, une bûche type Ste Maure à consommer de préférence avant le 17 mai, donc avant la naissance de Mademoiselle III, ça ne nous rajeunit pas ; c’est toujours très bon, mais on oublie le côté crémeux de la bûche pour avoir un chèvre beaucoup plus sec. En salade c’est mieux, ça ne colle pas aux couverts de service et ça se répartit équitablement dans le saladier. Cette salade s’accompagne volontiers d’œufs mimosa.

À la distribution, Mademoiselle I a prétendu ne pas aimer les poireaux. Comme je connais la bestiole (c’est moi qui l’ai faite quand même), je lui ai dit que je voudrais bien voir ça, qu’elle n’aime pas les poireaux. Ce qui n’est pas vrai, j’en aurais été contrariée. Mais je ne risquais rien. Et de fait, elle s’est resservie 3 fois et a grogné quand le plat a été fini. Mademoiselle II a dit que non non non c’était pas bon, mais une fois le fromage de chèvre trié (on sait qu’elle n’aime pas ça, même si c’est la honte de la famille), elle a trouvé ça très bon.

2) carottes râpées avec une vinaigrette vinaigre de cidre, huile d’olive, ail (beaucoup). Là je ne l’ai pas fait mais souvent j’ajoute une poignée de cacahuètes dans le robot en train de râper les carottes. On peut également mettre des pignons de pin légèrement grillés, des raisins secs, du persil, de la ciboulette, etc. J’ai fait très simple.

Pas de surprise chez les demoiselles, Mademoiselle I était très contente de voir des carottes râpées sur la table, Mademoiselle II a dit ne pas en vouloir, mais, contrainte par un odieux chantage à base de cornet de glace, elle a tout mangé. sans difficulté

3) n’apparaît pas sur la photo, mais les pommes de terre ont été accompagnées de filets de harengs fumés coupés en petits morceaux, avec le même genre de vinaigrette que pour les carottes mais avec des échalotes (beaucoup) et pas d’ail.

C’est un des plats préféré des demoiselles, il n’y en a jamais assez.

Voilà, les salades, ça fait plus estival que la soupe, mais je n’ai pas dit mon dernier mot !

Taboulé, tout simplement

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Regardez dans votre bac à légumes : en ce moment, il y a forcément des tomates et des concombres. Pour peu que vous ayez un pot de menthe sur le bord d’une fenêtre, un oignon nouveau et un citron qui traînent, cette recette est faite pour vous.

En plus de ce que j’ai déjà cité, il faut la semoule et de l’huile d’olive mais ça normalement tout le monde en a dans son fond de roulement.

Au Moyen-Orient, il y a beaucoup de persil dans le taboulé, mais il paraît que ça coupe le lait, et avec l’arrivée de Mademoiselle III, je m’auto-censure à nouveau le persil. En revanche on a eu du basilic, donc j’en ai mis, mais ça ne fait pas partie de la recette de base. On peut mettre des raisins secs aussi si on aime le sucré-salé.

Il n’y a pas beaucoup de recettes plus faciles que celle du taboulé : on met la semoule dans un saladier (jusqu’à mi-hauteur), on mouille avec un grand verre d’eau, on coupe tous les ingrédients en petits cubes et on les ajoute, de façon qu’il y ait à peu près moitié semoule moitié légumes.

On ajoute le jus de citron, le sel, le poivre et 2 cuillères d’huile à la fin, juste avant de touiller et de stocker au frigo.

Idéalement il faut préparer le taboulé la veille et le laisser infuser au frigo. Mais il est mangeable après 2-3h de repos.

C’est bon, c’est frais, c’est léger, qu’est-ce que vous attendez pour en préparer ???

Roulés (courg+racl).ette

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C’est quoi ce titre bizarre ? Rappelez-vous, les développements et la factorisations que vous avez étudiés en maths au collège… Si on développe cette factorisation, on obtient « roulés courgette+raclette », et ça donne une bonne idée de ce dont je vais vous parler aujourd’hui.

Il y a quelques jours je regardais ce qu’il se passait de beau sur facebook, et parmi toutes les photos de gens heureux à la plage, il y a la vidéo d’une recette qui est apparue. Je n’avais pas mis le son et il n’y avait pas de sous-titres, donc la recette que je vous propose aujourd’hui est inspirée des images que j’ai vues, modulo ce que j’en ai retenu, mais ça ne correspond sans doute pas pile poil. Pas grave, la leur, je ne sais pas si elle était bonne, alors que la mienne je peux vous l’affirmer !

Alors il faut : une courgette un peu costaud, un fromage qui fond bien, du jambon, de la chapelure, du parmesan râpé et de l’huile d’olive.

Commençons par faire des tranches toutes finettes de courgette avec un économe.

Quand on en a une vingtaine, on peut préparer les assiettes creuses : une avec l’huile d’olive, l’autre avec un mélange 50/50 de chapelure et de parmesan râpé. NB : je me suis rendu compte en le faisant qu’il serait plus pratique d’avoir des récipients plus longs, afin de pouvoir poser la tranche de courgette dans l’huile et la chapelure, plutôt que de la faire glisser dans le bol, parce que ça a tendance à mettre de la chapelure à côté, et c’est énervant.

Ensuite on coupe des lamelles de jambon de la largeur des tranches de courgette, et on met le fromage qui fond dessus, pareil, à une largeur qui va bien. Pour les fromages, j’ai essayé gorgonzola puis raclette. Là on voit gorgonzola :

Ensuite on roule le tout et on le pose dans un plat qui va au four.

Quand le gorgonzola est terminé, on passe à la raclette : pareil, on la coupe en tranches d’une largeur raisonnable.

Dans mon premier plat, que des roulades au gorgonzola sauf celle du milieu à la raclette, qui arrivera après la photo parce qu’avec les mains pleines de chapelure, je n’avais pas l’appareil prêt à dégainer à tout moment…

Une petite vingtaine de minutes au four à 200°C, et ce qui sort est tout magnifique :

Dans le 2e plat, que des roulés à la raclette, et c’est tout aussi beau :

À servir avec une salade verte.

Bilan : c’est très très bon. La courgette, et peut-être un peu la chapelure aussi, donnent une grande impression de légèreté (alors que bon, fromage fondu, huile, jambon… peut mieux faire). C’est un peu long à faire et on s’en met un peu partout (cf mon commentaire sur la forme du récipient contenant la chapelure), et on s’est dit qu’on retrouverait sans doute le très bon goût de la chose en passant moins de temps en préparation si on le faisait comme des lasagnes : une couche de tranches de courgettes, le mélange de chapelure/parmesan, une couche de jambon, une couche de courgettes, une couche de fromage, etc.

Les roulés sont très jolis, et le lendemain, juste réchauffés, ils se tenaient mieux qu’à la sortie du four qui les a cuit, Monsieur fait remarquer que ça fait de belles bouchées pour un apéritif dînatoire.

Donc la prochaine fois, on essaiera sous forme de lasagnes.

Bon appétit !

Le plat du pauvre

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Coluche disait que l’artichaut était le plat du pauvre parce qu’il en reste plus après l’avoir mangé qu’avant, mais franchement, j’ai écossé les fèves qu’on a eues dans le panier de mardi dernier, et je me demande si ça n’est pas pire :

Et alors la bonne idée, pour compléter les fèves et limiter la frustration de ce qui reste après écossage, c’est de compléter avec des petits pois, mouahahahaha !

Et donc ce soir-là, on a mangé des fèves, des petits pois et des carottes cuits à la vapeur, avec une petite sauce crème fraîche/oseille du jardin.

Et on s’est régalés !

Chou-rave confit (et fenouil confit en bonus)

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Que faire avec des choux-raves ? Déjà moi j’étais super fière de savoir nommer le machin, mais alors de là à savoir le préparer… j’ai donc cherché et mon ami internet m’a proposé de faire des choux-raves confits. Quand il y a « confit » dans une recette, ça sonne bien, ça sonne douillet et confortable, confit-ure, confit d’oignons, confi(t)-serie, tout ça…

Donc : choux-raves confits, go. Il me faut 2 choux-raves (ça tombe bien c’est pile-poil ce que j’ai), de l’huile d’olive, 1 cuillère à soupe de cassonade, 3 cuillères à soupe de vinaigre balsamique (ou à défaut de vinaigre de cidre) et ½ bouillon-cube.

Il faut commencer par peler les choux et les couper en tranches, puis les faire revenir dans l’huile d’olive. En parallèle, je prépare le bouillon : ½ cube et 25 cL d’eau.

Quand les tranches de choux-raves sont bien revenues, on saupoudre la cuillère à soupe de cassonade dessus, et les 3 cuillères de vinaigre.

Très peu de temps après, quand ça a légèrement caramélisé, on verse le bouillon et on laisse cuire à couvert 12 minutes.

Et enfin on enlève le couvercle et on laisse le bouillon s’évaporer.

Voilà, il reste à servir. C’est tendre, légèrement sucré, un petit goût de chou pas écrasant, c’est très agréable. En revanche, ça n’est pas du goût de mes demoiselles (même en ayant fait croire à Mademoiselle II que c’était de la pomme de terre, en fourbes).

Elles ont préféré le fenouil confit, les chipies ! Là, je n’ai pas pris de photos lors de la préparation, mais ça se résume en 1 phrase : une fois le fenouil coupé en cubes, on met les cubes dans un plat qui va au four avec le jus d’un citron, la même quantité d’huile d’olive et un peu d’herbes de Provence, et on laisse cuire environ 20 min, en touillant de temps en temps pour que le fenouil soit bien recouvert de marinade.

Vous connaissez mon amour très modéré pour le fenouil… eh ben ça sent tellement bon que j’ai goûté de mon plein gré, alors que Mademoiselle III n’est pas encore née et que donc je n’ai pas à me forcer pour favoriser la montée de lait !!! Donc je recommande encore plus à tous ceux qui aiment le fenouil pour de vrai, d’ailleurs Monsieur était ravi.

Bonne dégustation !

Nounouilles aux courgettes citronnées

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Mademoiselle II commence à causer. Ou plus exactement elle papote en permanence, qu’on ne peut plus la faire taire. Et elle, elle associe le fait de parler à un droit de donner son avis sorti d’on ne sait où. C’est ainsi que quand j’ai annoncé que « ce soir, c’était poêlée de courgettes », elle, elle a demandé des « nounouilles ».

Comme je suis une maman conciliante, j’ai fait des nounouilles aux courgettes.

Pour les courgettes, simplement passées à la brosse sous l’eau, ça ne sert à rien de les peler, un passage à la mandoline m’a donné des bâtonnets tout mignons. J’ai fait revenir ces bâtonnets quelques minutes dans un filet d’huile d’olive avec 2 gousses d’ail et une cuillère à café d’herbes de Provence.

J’ai eu envie d’une note acidulée et j’ai zesté environ un quart de citron bio dans les courgettes. L’odeur déchirait tout, mais l’expérience a montré qu’il en aurait fallu un poil plus.

Pendant ce temps j’ai fait l’inventaire des nounouilles disponibles et je suis tombée sur ces grosses coquillettes, que j’ai fait cuire à mon goût (c’est à dire un peu plus longtemps que fondantes, je ne suis pas partisane de l’al dente, mais chacun gère la cuisson comme il aime).

Et enfin j’ai mélangé nounouilles et poêlée de courgettes citronnées.

C’était très bon, vu la prise de risque il n’y avait pas trop de doutes, mais le goût du citron était vraiment très très (trop) léger. À refaire, soit je mettrais un peu plus de zeste, soit j’arroserais d’une cuillère à soupe de jus de citron ou de mélange huile d’olive/jus de citron à la fin.

L’important, c’est que Mademoiselle II se soit régalée avec ses nounouilles.

Soupe chinoise – recette de Chine

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Il y a fort fort longtemps (12 ans, exactement), j’ai entrepris de mettre sur ordinateur mes cahiers de cuisine manuscrits. J’avais été interrompue dans ma tâche par un retour au travail plus rapide que prévu. Ma meilleure copine m’a rappelé récemment mes bonnes résolutions et je me suis remise à l’ouvrage. Résultat, j’ai l’impression de faire de l’archéologie, je retombe sur des recettes que je n’ai pas faites depuis 20 ans (oui, mes 1ers cahiers de cuisine sont très très vieux, j’écrivais encore bien et au stylo à plume à l’époque, c’est dire !).

La recette que je vous propose aujourd’hui n’a pas 20 ans mais est quand même assez vieille. Dans une ancienne vie j’ai travaillé dans une entreprise qui avait une filiale à Suzhou, en Chine, et le responsable de cette filiale nous avait envoyé une recette locale pour la gazette à laquelle je contribuais. Il se trouve que parmi les ingrédients, il faut du chou chinois, et qu’on en a eu il n’y pas longtemps dans un panier. Voici donc une recette de soupe chinoise directement venue de Chine.

Il faut : du chou chinois (ou un autre légume qui cuit vite), des champignons blancs (type de Paris), des champignons moins blancs (type pleurotes), de la cive ou ciboule ou oignon nouveau, de la coriandre, des nouilles de riz (ou des spaghetti), du bouillon de volaille (ou bouillon cube).

La première étape consiste à tout couper en petits morceaux. Vous pouvez exploiter vos enfants mais il faut savoir que ça ne représente pas forcément un gain de temps.

Une fois que tout est en petits morceaux, c’est joli comme tout. Pour les champignons « bruns », j’ai trouvé 2 types différents, des pleurotes et des shitake. Je n’y connais rien en champi, donc j’ai bien vu les 2 étiquettes mais je ne savais pas lesquels étaient lesquels. Mais comme c’était marqué « type pleurotes » sur la recette et que shitake ça sonnait bien oriental, j’ai pris les 2, je suis une ouf guedin.

La suite se fait au wok. Dans la recette, il n’y avait aucune quantité de précisée, donc faites au mieux, mais au moins mesurez combien vous mettez d’eau pour savoir combien mettre de bouillon-cubes. Donc on commence par faire bouillir de l’eau.

Quand ca bout, jetez les champignons bruns dans l’eau.

À la reprise de l’ébullition, ajoutez les champis blancs et le chou.

À reprise de l’ébullition, ajoutez les bouillons-cubes et les nouilles.

Les oignons nouveaux sont à ajouter tout à la fin. Personnellement j’ai fait 2 bols : un avec les verts qui n’ont pas besoin de cuire et un avec le blanc. Donc quand les nouilles sont cuites, j’ai ajouté les blancs d’oignons. Et quelques minutes après, on peut couper le feu et ajouter les verts d’oignon et la coriandre, tout à la fin comme ça garde bien le goût !

Et voilà, il reste à servir.

Succès familial, surtout que les demoiselles étaient très fières d’avoir participé, alors forcément c’est encore meilleur !!!