Mardi il y avait distribution comme tous les mardis. On a eu de quoi faite une ratatouille de compèt, ou un gaspacho, ou même les 2 : tomates jaunes et rouges, basilic vert, courgettes vertes, aubergine violette, salade verte, concombres verts, oignons verts.

J’ai tiqué sur ces derniers, parce qu’ils étaient clairement rouges. Limite je soupçonnais Denis de daltonisme aigu. Mais il s’est dédouané direct en expliquant qu’il répétait ce que David lui avait dit. Mouais. Mettons.

Il y avait un peu tous les produits ce mardi : farine, œufs, pain, lait.

Quand David est arrivé avec son vélo-DJ, ça a commencé à sentir, ou plutôt ouïr un peu la fête.

En parlant de vélo, voyez un peu : deux tandems côte à côte, ce n’est pas fréquent !

Et bien vite, le pain sur les tables de distribution a laissé la place aux cakes, tartinades, grignotages et régals (régaux ?) divers. Et aux bouteilles.

Les petits groupes se forment et taillent le bout de gras. Je ne connais pas encore tous vos prénoms mais je commence à reconnaître des têtes. Ci-dessous le pôle produits laitiers par exemple, avec Cyrille au centre, Camille son fidèle adjoint à gauche, et Mélanie à droite.

Françoise et Cyrille, en plein concours de mime peut-être. Et on dit que ce sont les Italiens qui parlent avec les mains…!

David, en train de recruter Boris (mon Monsieur avec Mademoiselle II sur le dos !😁) pour pédaler sur une rosalie qui se la pète et veut se faire appeler quadricycle. L’histoire ne dit pas si elle a la petite poignée de frein en l’air pour prendre le thé.

Julien qui était parti mais qui est revenu ensuite chercher sa précieuse boîte à glace (et son Opinel et son fromage).

Laurence qui a vu un fantôme et Valérie qui ne la croit pas.

Nathalie et Boris, qui ne parle décidément qu’aux jolies femmes.

Personne en particulier sur cette photo, mais je tiens à signaler que ce n’est plus la peine d’inventer de nouveaux mets : le fromage affiné de chèvre de Laure, de la ferme des Jarouilles, avec le pain aux graines de Stan, notre boulanger, c’est à tomber par terre. Ça a été difficile de me décoller de ce coin-là une fois que j’ai eu goûté ça ! Pour ceux qui s’intéressent à la grammaire, « j’ai eu goûté » c’est un passé surcomposé ; un terme charmant que je m’étais empressée d’oublier, si toutefois je l’avais appris. Oh, je sens que j’ai perdu du monde avec ma digression de conjugaison (j’allais écrire conjugale, mais manifestement ce n’était pas le terme approprié 🤭).

David ne s’y trompe pas, et se sert du délice en bouchée (ça se voit que j’ai été emballée ?).

Avec David, sa maman Hélène, Stan, et un monsieur à T-shirt orange. Même commentaire que ci-dessus je veux bien enrichir l’article avec les vrais prénoms, parce que non, monsieur-à-T-shirt-orange n’est pas un prénom facile à porter. Et puis c’est vachement réducteur pour sa garde-robe aussi.

Et puis bon il a fallu souhaiter une bonne nuit à tout le monde parce que Mademoiselle II avait bien commencé la sienne !